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Podcast. La deuxième promotion de l’École Microsoft de Brest accueille vingt-quatre personnes dont six femmes, au métier de développeur en intelligence artificielle. Ces apprenants sont tous éloignés de l’emploi. C’est l’originalité de cette structure, implantée dans une vingtaine de villes en France. Celle de Brest fonctionne en partenariat avec l’école d’ingénieurs ISEN et le réseau de fabriques solidaires et inclusives Simplon. Peu importe leur bagage informatique, les apprenants travaillent sur des cas concrets. L’an dernier, ils se sont intéressés au masque contre le Covid. “L’enseignant en intelligence artificielle leur a montré comment utiliser l’IA pour détecter que les gens le portaient ou non” se souvient Stéphane Jamin-Normand, formateur-référent intelligence artificielle et data.
Nassira, enseignante-chercheuse de 50 ans est à l’aise avec les maths et les algorithmes, mais elle veut aller plus loin pour découvrir le codage et la programmation. Quant à Sylvia, 39 ans, elle a exercé une partie de sa carrière dans un service après-vente multimédia. Retourner à l’école pour vivre de sa passion, l’informatique, cela ne lui fait pas peur. “La formation intensive de sept mois nous permettra d’intégrer une entreprise en alternance. Mon but, c’est d’améliorer mes compétences et de trouver un emploi par la suite”.
Qui utilise, ou utilisera l’intelligence artificielle, et pour quels services ? “La banque, pour décider de la solvabilité d’un client, l’assurance, et le monde de la santé pour obtenir des diagnostics plus fins et plus précoces” explique dans ce reportage en podcast, Mikaël Cabon, qui dirige l’École Microsoft de Brest.
© Christophe Pluchon, radio RCF Finistère